Juif capitaliste

“Der Kampf mit der Kapitalismus. Was je der Herr als Dienst begehrt zum Nutzen und zum Spaß, dafür bekommt sein armes Pferd Nichts, als den öden Fraß. Millionenwerte zieht ‘s bergan für einen Hafersack, dann führt es, was es laufen kann, zum Schmaus das Wucherpack. Und strauchelt es vor Müdigkeit, dann saust die Peitsche drein. Das Pferd ist eben nicht gescheit, drum glaubt ‘s: das muß so sein. Nie wird es seiner Kraft bewußt, nie wird es frei und froh. Es denkt nur dumpf: du mußt! du mußt! Auch Menschen sind oft so…”

“La lutte avec le capitalisme. Ce que le maître désire comme service pour son profit et son plaisir, son pauvre cheval ne l’obtient qu’en pâture. Il monte avec des millions de dollars pour un sac d’avoine, puis il mène ce qu’il peut au festin de l’usure. Et s’il trébuche de fatigue, le fouet s’abat sur lui. Le cheval n’est pas intelligent, c’est pourquoi il croit qu’il doit en être ainsi. Jamais il ne prend conscience de sa force, jamais il ne devient libre et joyeux. Il ne pense qu’à une chose : tu dois ! tu dois ! Les hommes aussi sont souvent comme ça…”.

Carte postale.